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 À leur tête, comme roi, elles ont l'Ange de l'Abîme ; il s'appelle Abaddon

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Georgina
Georgina

Messages : 2133
Date d'inscription : 03/04/2017

MessageSujet: À leur tête, comme roi, elles ont l'Ange de l'Abîme ; il s'appelle Abaddon   À leur tête, comme roi, elles ont l'Ange de l'Abîme ; il s'appelle Abaddon EmptyDim 15 Nov - 13:04









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Aleister

Morgenstern
Identité
Nom : Morgenstern
Prénom(s) : Aleister, Angus
Surnom(s) : Abaddon, l'ange de la mort
Age : 52 ans
Date et lieu de naissance : 11 avril 1968 en lieu inconnu
Origines : Au moins américaine
Etat civil : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétéro
Préférence sexuelle : Dominant
Qualités : Patient, pragmatique, cartésien, charismatique, minutieux, réfléchi, maîtrisé, droit
Défauts : Stoïque, lunatique, violent, brutal, belliqueux (quand énervé), asocial, taciturne
Statut au sein du harem : Tortio perso
Métier/occupation : Mercenaire, chasseur de prime
Célébrité : Johnny Depp
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je suis

TORTIO PERSO
Caractère
L'examen psychologique qu'il a effectué à l'hôpital l'a défini comme étant atteint de sociopathie : il n'éprouve aucune empathie envers les personnes qui l'entourent. Il ressent bien des émotions et s'en sert comme force principale. Par exemple, il ne supporte pas l'échec ou la frustration. Dans le meilleur des cas, il en fait un moteur inarrêtable pour arriver à ses fins. Dans ses pires travers, c'est comme si un plomb pétait dans sa tête. Son cerveau se déconnecte de son corps et il devient brutal et violent. Lorsque la tempête est passée, c'est à peine s'il se souvient de ce qu'il a dit ou fait. Si jamais des tierces personnes ont été victimes et/ou témoins de ses agissement, il n'en a strictement rien à foutre et tourne les talons sans autre forme de procès.

Il met un point d'honneur à faire bien les choses. Selon les circonstances, ça peut être perçu comme un TOC. D'ailleurs, lorsqu'il signe un contrat, il veille à en comprendre toutes les clauses et à correctement faire spécifier son champ d'action, ses droits et ses devoirs. Une fois fait, ceci devient sa nouvelle ligne de conduite et il n'en dérogera pas durant toute la durée du dit contrat. Ceci le rend donc incorruptible aussi bien émotionnellement (de par sa pathologie) que professionnellement.

Si on sait correctement le prendre, il peut être très patient et très doux. Il est bien élevé et cache son asociabilité dans un dérivé de l'humilité. Il sait tenir une conversation sur à peu près toute sorte de sujets mais c'est rare qu'il se donne cette peine. C'est une personne relativement indépendante qui sait s'associer avec d'autres sans mal durant une durée délimité afin d'effectuer une tâche ou un travail.
Physique
Taille: 1.78 m
Poids: 78 kg
Yeux: Marron
Cheveux: Brun
Particularité: Enormément de tatouages sur tout le corps dont la plupart sont fait pour masquer des cicatrices. La seule qui reste visible est une lacération profonde dans le dos.
Anecdotes
On en sait absolument pas s'il est né avec sa pathologie de sociopathie ou si elle a été déclenché par son accident. Aucuns signes dans son ancien appartement n'a donné d'indices sur cette information.
Il fume limite clope sur clope et adore un bon verre d'alcool fort pour se détendre en fin de journée.
Il ne sait pas pourquoi mais il a un "truc" dans les mains. D'après des bouquins sur le sujet, ce serait du magnétisme. Il arrive à couper le feu. Vu son esprit cartésien, il ne cherche pas à développer cette faculté.
Derrière l'écran
Pseudo : Ava Âge : Plus de 30 ans Avez-vous des pré-liens? : Juste le scénario déjà créé Comment êtes-vous arrivé ici? : Je fais partie des murs Votre première impression?  : Super cool Confirmez votre majorité : Mon âge parle de lui-même je pense Code du règlement : Serez-vous Maître ou esclave de votre destinée ? Un dernier mot : Nope
Pour le registre des avatars
Code:
[color=#C71414]✘[/color]<b> Johnny Depp </b> ✘ <i>Aleister Morgenstern</i>
Pour le registre des prénoms
Code:
[b]Aleister[/b] Morgenstern
Pour le registre des noms
Code:
[b]Morgenstern[/b] Aleister


Dernière édition par Georgina le Ven 4 Déc - 17:28, édité 13 fois
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Georgina
Georgina

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MessageSujet: Re: À leur tête, comme roi, elles ont l'Ange de l'Abîme ; il s'appelle Abaddon   À leur tête, comme roi, elles ont l'Ange de l'Abîme ; il s'appelle Abaddon EmptyDim 15 Nov - 13:04









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Le harem et vous

Quel est votre point de vue sur le harem? Pour être franc, on me paie bien, le cadre n'est pas trop mal et on ne me fait pas chier. Il fait un peu chaud mais on ne peut pas tout avoir dans la vie.
Si vous y êtes venu de vous-même, qu'est-ce qui vous a poussé à faire ce choix? L'argent, les avantages et le fait de me mettre un peu au vert par rapport à mon ancien travail. Je voulais pouvoir me poser pour vivre tranquillement mes vieux jours tout en continuant à exercer dans ce que je sais faire de mieux. Et puis, on ne va pas se mentir, je ne vais pas devoir m'emmerder à chercher une pute pour la nuit. Il y en a à foison dans tout le harem.
Quelle est votre perception de l’Émir et des princes? Que pensez-vous de leur concept? Si mon profil leur a convenu c'est qu'ils doivent apprécier le travail bien fait et exécuté avec précisions. Au vu de comment je suis traité, je n'ai clairement pas à me plaindre. Franchement, j'ai connu bien pire dans ma vie.
Avez-vous des relations avec eux? Je m'occupe du sale boulot que personne ne souhaite évoquer par pudeur ou par gène et je le fais vite et bien. Je pense que c'est déjà pas mal comme relation de confiance entre eux et moi, non ?
Que pensez-vous des tortionnaires en général? Avez-vous des liens avec certains d'entre eux? Je ne connais personne ici et je me fous de me fondre dans la masse en faisant ami-ami avec eux. A la rigueur, je veux bien faire l'effort de l'ouvrir pour leur parler poliment mais ça s'arrête là. Ce sont juste des individus sans nom ni visage qui me seront éventuellement assignés pour leur futur sortie à l'extérieur. Je leur sauverai le cul et, dès que je serai rentré, j'oublierai même jusqu'à leur existence.
La situation des esclaves vous surprend-t-elle? Je n'ai pas d'avis. J'ai déjà été témoin de trucs bien pires qui se passaient dans des red room donc ils ne s'en sortent pas trop mal.
bdsm

& Co
Alors les pratiques avec des cordes, du cuirs ou du latex, je le laisse aux allumés. Je ne suis pas non plus partisan du simple missionnaire effectué bien gentiment dans un pieu mais je pense qu'entre les deux il y a une assez grandes palettes de pratiques. J'aime beaucoup dominer. Je suis plutôt du genre à baiser pour me décharger plutôt que pour témoigner de sentiments amoureux envers quelqu'un. Les histoires à l'eau de roses avec des pisseuses qui se prennent pour Angelina Jolie ne m'intéresse pas. Je rentre dans la pièce, je fais mon business et je me casse.
je suis

Novice
j'aime la

Dominance

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Votre histoire
C'est peut-être peu commun à dire mais ma vie a commencé à l'age de 33 ans.

Je me suis réveillé dans une chambre d'hôpital en janvier ou février 2002 et je ne me souvenais plus de rien. Le blackout total. C'est l'infirmière qui est venue qui m'a appris comment je m'appelais. D'après ce que la batterie de médecins m'a dit, j'ai été retrouvé dans un état critique dans les décombres du bâtiments des renseignements généraux attenant au Wall Trade Center. Lors de l'effondrement des deux tours jumelles, l'intégralité des vitres et une bonne partie du mobilier à été soufflé. Ce qui m'a sauvé la vie c'est qu'on a immédiatement envoyé une équipe de sauvetage. D'après ce que j'ai compris la structure du bâtiment dans lequel j'étais n'a cédé que 48h plus tard. On a trouvé sur moi que trois choses : ma carte d'identité, des clés et ma carte de crédit.

Au vu de mon pronostic engagé, ils ont essayé de se servir de ces maigres informations pour connaître mes antécédents médicaux. Ils ont presque fait chou blanc. Soit j'avais toujours eu une santé de fer ou une phobie médicale quelconque, soit mon dossier dans leur base de données était trop pauvre pour les aider dans ce qu'il recherchait sur moi. On m'a fait passer une batterie de tests en un temps record. Avant d'arriver au bloc, ils avaient mon groupe sanguin et j'avais été testé négatifs aux différents métaux et matériaux nécessaires à mon opération. Une fois au bloc, j'ai failli crever deux fois en douze heures et le médecin en chef a cru que la troisième serait la bonne mais j'ai tenu bon. Pour ne pas provoquer un nouveau choc, ils ont jugés bon de me maintenir en coma artificiel le temps que mon corps reprenne des forces.

A mon réveil, j'ai été informé que, au vu des différents test effectués pendant mon coma, mes chances de me remettre serait minimes. Ma colonne vertébrale avait été touché et je devais me préparer à l'éventualité de ne plus jamais pouvoir remarcher. Au moment même où on m'a dit ça, une rage sourde a décidé d'élire domicile dans ma tête. Pour moi, tout ce qu'ils m'avaient jeté à la gueule était un putain de tissu de conneries. J'ai engueulé le personnel hospitalier qui me traitait déjà comme un infirme en leur balançant ce que j'avais à portée de main. J'ai exigé des séances de rééducation. J'ai fait plus de travail que tout les patients réunis. Je trimais sang et eau dans les exercices. Mes muscles me faisaient atrocement souffrir mais je ne lâchais rien. Je suis tombé à de nombreuses reprises mais, quand j'en avais encore la force, je repoussais violement les internes qui voulaient me venir en aide. Je voulais guérir et j'allais faire mentir tout ces connards de la médecine qui me regardait avec leur regard condescendant.

Et un jour, mes orteils ont bougés. Pas de beaucoup mais j'en ai rit aux éclats. J'allais y arriver. J'allais me sortir de cette merde. Un an et demi plus tard, je suis sorti de l'hôpital sur mes deux jambes, la tête haute et le regard fier. Je me suis donc rendu à l'adresse sur ma carte d'identité. J'ai mis un moment pour trouver la clé qui ouvrait mon appart. Une fois à l'intérieur, j'ai complètement déchanté. Les meubles, les décorations, les photos, tout ce qui le composait ne me correspondaient absolument pas. J'avais l'impression d'être rentré par effraction chez quelqu'un d'autre.

J'ai commencé à passer à sac tout ce qu'il y avait dans l'endroit. J'ai trouvé tout les documents utiles me concernant dans un des tiroirs de mon dressing : mes informations bancaires, mon passeport et mon permis de conduire. J'ai consulté mes relevés bancaires et j'ai trouvé dessus une somme assez importante. Chaque apport d'argent avait été fait par mes soins et en liquide directement au guichet. Il y avait largement de quoi payer mes factures et ma nourriture pendant plus ou moins quatre ans si je faisais vraiment bien attention. Je n'ai pas chercher plus loin. J'ai tout rangé dans une petite valise que j'ai temporairement mise sous mon lit. Je me suis dit que, si je voulais de nouveau maîtriser mon environnement, il me fallait faire table rase avec mon passé. Du coup, je me suis donc laissé quelques jours pour vendre tout mes biens et aller habiter ailleurs.

Ce nouvel objectif bien en tête, j'ai balayé la pièce du regard. J'ai vu mon répondeur téléphonique clignoter "FULL" sur le panneau digital. Je l'ai débranché du mur et l'ai jeté à la poubelle. Mon passé ne m'intéressait pas. Je n'en avais rien à foutre de savoir si j'avais de la famille ou une petite amie. Si ça me faisait autant d'effet de renouer avec eux que mon arrivée dans cette coquille vide qui m'a servi de lieu de vie, autant partir une bonne fois pour toutes sans se retourner. Cinq jours plus tard, tout était vendu, mon ancien appartement avait été remis à neuf pour l'état des lieux et j'avais déjà signé le bail de mon nouvel appartement. Je suis parti à ma nouvelle adresse avec uniquement ma carte bleue, ma carte d'identité et la petite valise dans laquelle j'avais consciencieusement rangé tous mes papiers.

C'était un petit appartement sans grande prétention situé dans une ville un peu plus loin dans l'état. J'ai racheté une maigre garde robe et ne me suis clairement pas fait chier en terme de design : tout sobre et fonctionnel et basta. Pas de fanfreluches inutiles. Après tout je mange et je pionce là dedans et ça s'arrête là donc à quoi bon mettre un peu de Feng Shui de mes deux dans le bordel.

Nouveau départ, nouvelle vie. J'ai décidé de me servir de l'intégralité de mes ressources pour me retourner. J'ai enchainé les heures de conduites pour repasser mon permis. Mon physique en avait pris un coup à cause de l'accident. J'ai aussi passé énormément de temps à la salle. Pas pour faire mon connard qui sculpte son corps à coup d'amphet' mais qui ne soulève même pas son propre poids. Je voulais faire récupérer à mon corps tout ses réflexes tout en le renforçant musculairement. Une fois que j'ai repris le contrôle sur cette partie de ma vie, j'ai décidé de me spécialiser dans le maniement d'armes à feu en tout genre et dans toutes sorte de conditions : citadines comme conditions plus rudes. J'ai aussi trimer pour acquérir de solides bases de self défense.

Je ne faisais que ça de mes journées : entrainement, théorie et pratique. C'était devenu mon quotidien. Deux ans plus tard, j'avais retrouvé toutes mes facultés motrices, un permis de conduire valide et une dextérité presque mécanique au montage, démontage et à l'utilisation d'une bonne vingtaine d'armes à feu. C'est à ce moment que, par hasard, j'ai commencé à m'intéresser à la traque d'individus recherchés par la police. Après tout, il y avait des récompenses monétaires à la clé qui n'était pas dégueulasse. J'ai donc décidé de voir ce que je valais sur le terrain.

Mon premier cas a été laborieux mais il s'est révélé fructueux. Peu à peu, je me suis perfectionné en tir et en efficacité. Avec patience, je me suis créé mon propre réseaux d'indic' et de contacts pour pouvoir entendre parler des plus gros poissons et avoir des armes dernier cri tout juste tombé du camion à des prix défiant toutes concurrence. Mon sang froid, mon détachement et l'expression stoïque sur mon visage m'a valu le surnom d'Abaddon, l'ange de la mort et de la destruction. C'est devenu mon pseudo dans le milieu. Plus les années passaient, plus la tendance s'inversait : on me contactait pour me proposer un contrat plus que je n'en cherchais un pour boucler les fins de mois. Même si mon point d'attache restait toujours mon petit appartement, je n'y passais limite pas plus d'un cumul de quatre mois par an. Mon nouveau train de vie me contraignait à énormément voyager à travers le pays et je préférais ne pas trop stagner au même endroit pour éviter le revers de la médaille qu'on peut s'attirer dans le milieu.

Malgré tout, j'avais une faiblesse. Je ne maîtrisais absolument pas le corps à corps. Je compensais toujours cette lacune en blessant par balle des parties du corps qui neutralisaient ma cible sans la tuer. Les personnes que j'avais remis aux autorités ou à un privé qui payait grassement avaient toujours en eux cette petite caractéristique de cuivre et de métal qui étaient devenue ma signature au fil de temps. J'ai donc décidé qu'il fallait que je fasse quelque chose pour me permettre remédier à ça une bonne fois pour toute. En effet, certains contrats me passaient sous le nez car il était spécifiquement demandé à ce que la cible soit retournée sans autres blessures que des bleus superficiels. Si c'était pour ramener une minette n'ayant que son gloss à la fraise comme arme de destruction massive, ça passait, mais pour un mexicain qui avait une superbe collection de couteaux papillon sur lui, c'était une autre histoire.

Après avoir été au bout d'un contrat de cinquante mille dollars, j'ai décidé de prendre du temps pour moi afin de me perfectionner en corps à corps et dans l'utilisation et la défense contre les attaques à l'armes blanches. Mais j'ai tout juste eu le temps de vraiment commencer à me former lorsque j'ai reçu un coup de téléphone. Des types pleins aux as avaient entendu parler de moi. Ils avaient pu observer mon évolution et était fortement intéressés par mon profil. Ils voulaient me proposer un contrat pour un emploi dans un endroit occultés des images satellites. Après une discussion poussée, on est arrivés à un accord. J'ai mis entre parenthèse mon gagne pain pour prendre le premier vol en direction de Dubai.

Je suis devenu un des mercenaires du harem. Mon travail est simple : je suis envoyé à l'autre bout du globe pour faire taire des anciens tortionnaires qui tentent de la mettre à l'envers à mon employeur. J'ai également traqué quelques uns des rares martyrs graciés qui faisaient un peu trop de vagues. Je les observe de loin, je fais mon rapport et ça se solde de deux manières différentes : je rentre à Dubaï après les avoir brutalement dissuadés de l'ouvrir ou alors je les aide à se suicider.

Quand j'ai un peu de temps libre, j'ai le droit de le passer avec les meilleurs gardes sur place pour qu'ils puissent continuer ma formation en corps à corps et dans le maniement d'armes blanches. Ce n'est pas encore ça mais je suis persuadé que je vais y arriver. Après tout, ce ne serait pas la première fois que j'arrive à faire quelque chose de mes dix doigts.
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